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Faits saillants :

  • Faites plus d’argent avec vos placements grâce à une planification fiscale stratégique. Une stratégie de placement fiscalement avantageuse peut vous aider à réduire vos impôts au minimum tout en gardant et en faisant fructifier encore plus d’argent.
  • Choisissez le type de compte (enregistré ou non enregistré) qui offrira le maximum d’avantages fiscaux pour chacun de vos placements.
  • Les placements non traditionnels, comme les fonds de placement immobilier (FPI), peuvent offrir des avantages uniques qui vous aideront à maximiser vos rendements après impôt et à atteindre vos objectifs de placement plus rapidement.

Une des étapes clés de la planification des placements consiste à vous familiariser avec la fiscalité, et pour cause : les impôts sur vos placements ont une incidence directe sur la croissance de votre patrimoine. D’ailleurs, les personnes avisées investissent en tenant compte de l’efficacité fiscale. Autrement dit, elles essaient de limiter leurs impôts au minimum exigé par la loi.

Investir sans comprendre la fiscalité, c’est comme essayer de chauffer une maison en gardant les fenêtres ouvertes. Si vous fermez les fenêtres, vous pourriez avoir des pertes de chaleur ailleurs (car une partie de l’impôt est inévitable), mais vous atteindrez vos objectifs beaucoup plus efficacement. Alors, que diriez-vous d’apprendre à fermer des fenêtres?

L’imposition des placements au Canada

Le Canada a un régime d’imposition progressif, ce qui signifie que votre taux d’imposition augmente avec votre revenu. Ce n’est pas tout : peu importe le montant, le taux d’imposition peut varier d’un type de revenu de placement à l’autre. En vous familiarisant avec les types de revenus de placement et leurs modes d’imposition, vous pourrez prendre des décisions de placement adaptées à vos objectifs tout en réduisant votre fardeau fiscal.

Voici les types de revenus de placement les plus courants au Canada :

Gains en capital

  • Lorsque vous vendez un placement à une valeur supérieure à celle que vous avez payée, vous faites un profit que l’on appelle « gain en capital ». Le taux d’inclusion des gains en capital est de seulement 50 %. Ce montant s’ajoute au revenu et est imposé au taux marginal d’imposition.
  • Soulignons que certains aspects du taux d’inclusion des gains en capital vont changer à compter du 1er janvier 2026. Pour les particuliers, le taux d’inclusion des gains en capital sera encore de 50 % sur la première tranche de 250 000 $, mais il passera à 66,67 % sur la tranche suivante. Pour les sociétés par actions et la plupart des fiducies, le taux d’inclusion augmentera pour passer à 66,67 %, quel que soit le montant.
  • Au Canada, les gains en capital sont généralement considérés comme le type de revenu de placement le plus avantageux sur le plan fiscal.
  • Parmi les placements susceptibles de générer des gains en capital, il y a les biens immobiliers (y compris les fonds de placement immobilier ou FPI), les actions, les obligations et les fonds communs de placement.

Dividendes

  • De nombreuses sociétés cotées en bourse versent des dividendes.
  • Les dividendes sont imposés à un taux inférieur à celui des revenus d’intérêts, ce qui en fait une option fiscalement avantageuse.
  • Au Canada, le taux d’imposition des dividendes diffère selon qu’il s’agisse de dividendes déterminés ou non déterminés. Les dividendes déterminés proviennent généralement de sociétés canadiennes cotées en bourse, tandis que les dividendes non déterminés proviennent généralement de petites entreprises ou de sociétés fermées. Les deux types de dividendes donnent droit à un crédit d’impôt. Ce crédit est plus élevé pour les dividendes déterminés.

Intérêts

  • Par rapport aux autres types de revenus, les intérêts sont imposés au taux le plus élevé.
  • C’est votre taux marginal d’imposition qui s’applique. En d’autres termes, vous n’avez droit à aucun traitement fiscal favorable.
  • Les placements générant des revenus d’intérêts sont généralement considérés comme prudents. C’est le cas, par exemple, des comptes d’épargne, des obligations et des CPG.

Trois solutions pour effectuer des placements fiscalement avantageux au Canada

1. Investir par l’intermédiaire de comptes fiscalement avantageux

L’un des moyens les plus populaires et les plus efficaces de réduire votre charge fiscale consiste à investir par l’intermédiaire de comptes fiscalement avantageux, ce qu’on appelle également des comptes enregistrés. De nombreux placements y sont admissibles, par exemple les fonds de placement immobilier (FPI), les actions, les obligations et les fonds communs de placement. Les placements non admissibles sont les articles personnels (comme les objets de collection), les métaux précieux et les terrains.

Les comptes fiscalement avantageux comportent des avantages fiscaux qui vous aident à bâtir votre patrimoine plus efficacement. Voici quelques exemples de comptes :

  • Régime enregistré d’épargne-retraite (REER) – Un outil pour épargner en vue de la retraite. Les cotisations à un REER sont déductibles de l’impôt, et vos placements sont à l’abri de l’impôt jusqu’à ce que vous les retiriez.
  • Compte d’épargne libre d’impôt (CELI) – Un moyen de faire fructifier vos placements en franchise d’impôt. Les retraits ne sont pas imposables, ce qui fait du CELI un outil d’épargne flexible.
  • Régime enregistré d’épargne-études (REEE) – Un compte pour épargner en vue des études postsecondaires de votre enfant. Vos placements fructifient en report d’impôt et sont bonifiés par des subventions gouvernementales spéciales.
  • Compte d’épargne libre d’impôt pour l’achat d’une première propriété (CELIAPP) – Un compte pour constituer la mise de fonds d’une première habitation. Vous bénéficiez de cotisations déductibles d’impôt et de retraits libres d’impôt au moment d’acheter une maison.

Tous les comptes fiscalement avantageux sont soumis à des règles particulières, qui régissent les placements que vous détenez. Tous les placements non traditionnels offerts par Skyline sont admissibles au REER, au CELI, au REEE et au CELIAPP.

2. Répartir vos actifs

La répartition de l’actif consiste à diversifier votre portefeuille en plaçant votre argent dans différents produits de placement sans corrélation entre eux. C’est ce que font de nombreux investisseurs pour protéger l’ensemble de leur portefeuille contre la volatilité. À cet effet, vous pourriez par exemple détenir à la fois des placements publics et privés. Les placements privés sont évalués différemment des placements publics et sont peu touchés par la volatilité potentielle des marchés publics.

De plus, vous pouvez diversifier votre portefeuille grâce à des placements bénéficiant de traitements fiscaux différents. Une répartition stratégique dans les bons types de comptes peut réduire considérablement votre charge fiscale.

Par exemple, vous pouvez décider, d’une part, de maximiser votre REER en investissant dans des fonds à revenus d’intérêts ou de dividendes et, d’autre part, d’utiliser des comptes non enregistrés pour vos placements générant des gains en capital, car ils vous donnent déjà accès à des avantages fiscaux.

1. Planifier vos besoins d’argent

Pour élaborer une stratégie de placement fiscalement avantageuse, vous devez impérativement tenir compte de vos besoins d’argent. Si vous avez besoin d’un revenu de placements régulier, vous pouvez vous tourner vers des solutions qui versent des distributions fiscalement avantageuses, telles que les remboursements de capital (en ce sens que vous récupérez votre placement initial sans entraîner d’impôt). Parmi les placements qui offrent des distributions sous forme de remboursements de capital, il y a les FPI (comme ceux que propose Skyline), les fonds communs de placement et les FNB.

Si vous n’avez pas besoin de faire de retraits réguliers, vous pouvez choisir un placement qui offre un plan de réinvestissement des distributions (PRD). Ce programme réinvestit automatiquement vos gains pour qu’ils puissent fructifier en report l’impôt. Tous les fonds de Skyline proposent un PRD.

En plus d’opter pour des comptes fiscalement avantageux, de répartir vos actifs et de planifier vos besoins d’argent, il existe d’autres moyens de rendre vos placements encore plus efficaces sur le plan fiscal :

  • Investir par l’intermédiaire d’une société de portefeuille, qui peut vous donner accès à des occasions de report d’impôt.
  • Vendre à perte à des fins fiscales, ce qui peut compenser les gains en capital et réduire le revenu imposable.
  • Fractionner vos revenus, ce qui consiste à partager la propriété de vos placements avec un conjoint ou des membres de la famille qui touchent moins de revenus que vous afin de réduire la charge fiscale globale.
  • Faire des dons de bienfaisance, ce qui peut vous donner droit à des crédits d’impôt tout en évitant l’impôt sur les gains en capital.

Exploitez le plein potentiel des placements privés non traditionnels, tels que les FPI

Comme ils sont soumis à des règles fiscales uniques, les produits de placement non traditionnels, tels que les fonds de placement immobilier (FPI), présentent des avantages qui les distinguent des autres types de placements.

Les FPI canadiens doivent reverser au moins 90 % de leur revenu imposable aux investisseurs. En contrepartie, les FPI sont exonérés de la majeure partie, voire de la totalité, de l’impôt sur le revenu des sociétés. Ainsi, votre distribution est composée des revenus du FPI avant impôt plutôt que des dividendes après impôt, ce qui entraîne généralement des rendements plus intéressants. Contrairement à d’autres placements à dividendes, les FPI peuvent éviter la double imposition (c’est-à-dire l’impôt sur le revenu des sociétés et l’impôt sur le revenu des particuliers).

L’un des principaux avantages des FPI réside dans le fait que leurs distributions sont en partie composées de remboursements de capital. Ce type de distribution n’est pas considéré comme un fait générateur d’impôt, car le fonds vous rembourse votre placement initial.

Les distributions sous forme de remboursement de capital ont pour effet de diminuer votre prix de base rajusté (PBR), c’est-à-dire le montant de votre placement initial. Plus vous conservez votre placement et plus vous recevez des distributions, plus votre PBR diminue jusqu’à ce qu’il devienne nul.

Lorsque vous décidez de racheter votre placement, c’est votre PBR, à ce moment-là, qui détermine l’impôt que vous devrez payer sur les gains en capital. Le taux d’inclusion des gains en capital est de seulement 50 %. Ce montant s’ajoute au revenu et est imposé au taux marginal d’imposition. (Comme il a été mentionné plus tôt, certains aspects du taux d’inclusion vont changer à compter du 1er janvier 2026.) Si vous étiez directement propriétaire d’un bien immobilier, vos revenus locatifs seraient imposables à 100 % comme tout revenu ordinaire – une autre raison pour laquelle des investisseurs réservent une place aux FPI dans leur stratégie financière.

Favorisez l’efficacité fiscale grâce aux placements privés non traditionnels de Skyline

Skyline Wealth Management propose une gamme de placements privés non traditionnels destinés aux investisseurs canadiens, dont des FPI offrant un potentiel d’efficacité fiscale ainsi qu’un PRD pour réinvestir les gains. En plus de vous aider à réduire votre facture d’impôt, ces placements ont fait leurs preuves en résistant depuis longtemps aux incertitudes des marchés. Au 31 décembre 2024, le rendement historique annualisé des fonds Skyline oscillait entre 9 % et 15 %.

Bâtir un portefeuille de placement fiscalement avantageux peut vous aider à réduire vos impôts et, du même coup, à faire croître votre patrimoine plus rapidement.

Réduire votre charge fiscale,
ça commence ici
Les placements de Skyline peuvent vous aider à garder plus d’argent dans vos poches.

Le contenu de cet article ne vise pas à remplacer des conseils comptables ou fiscaux. Nous vous recommandons fortement de consulter votre comptable ou votre fiscaliste avant d’investir, puis sur une base régulière.